L’historiographie de « l’École de Dakar  » entre militantisme anticolonial et mémoires communautaires.

La présente contribution poursuit une réflexion entamée dans une perspective restreinte à l’analyse du traitement de l’espace chez les historiens de l’École de Dakar (Thioub, 2000 : 91-110). Ce premier texte avait fait l’objet d’une lecture critique de Mamadou Diouf que je remercie pour avoir, à cette occasion, attiré mon attention sur les questions discutées dans la première partie de la présente étude. Je voudrais également remercier Boubacar Barry, Jean Copans, Ousmane Kane, Ebrima Sall et le lecteur anonyme dont les commentaires m’ont permis d’améliorer la forme et le fond de texte.